2ème témoignage des participants au voyage dans le désert du Tassili de mars 2007 :
« Dès le premier jour, le pouvoir hypnotique du désert est présent.
La houle blonde des dunes se marie avec un ciel turquoise. Silence minéral.
Il faut quitter la vie agitée de l’Europe en ébullition, la boîte à chagrin télévision et autres médias, pour, enfin, remettre les pendules à l’heure, se débroussailler, se débarrasser des scories qui encombrent le quotidien. On trouve alors, une intimité quasi mystique avec la virginité des grands horizons vides. Le désert invite, non pas à la grandiloquence, mais à une connivence profonde avec la vie ; avec ce qui touche le centre de nous mêmes, ce qui nous propulse vers les espaces sidéraux que nous contemplons le soir en écoutant Dominique… »