le 23 novembre 2004
« Le violoncelliste, Dominique de Williencourt, égal à lui-même, par le rayonnement de sa sonorité, son phrasé, admirés dans l’ »Elégie » de Fauré, le très intérieur et poétique « Etchmiadzine et le Mont Ararat », de sa composition puis, dans l’insolite « Assobio a Jato » de Villa-Lobos, en association avec le flûtiste Jean Ferrandis, étonnant et déchaîné.. »