CETOPÉRA, La Flûte enchantée, m’a toujours fasciné.
Quand j’étais plus jeune, c’était évidemment à cause de
la musique. Non seulement, je ne trouvais aucun passage
ennuyeux, mais il m’arrivait souvent d’en chantonner telle
ou telle aria qui, tout à coup, me trottait dans la tête. Je
n’attachais aucune importance au texte. La divine musique
de Mozart me suffisait ; elle me transportait littéralement
dans un « autre monde ».
Et puis, je me suis mis à découvrir le livret de Schikaneder …